Enfin, c’est la renaissance des racines profondes reliant 
l’Afrique Blanche et l’Afrique Noire


Enfin, c’est la renaissance des racines profondes reliant   l’Afrique Blanche et l’Afrique Noire 1864


Le 11ème siècle était un point d’inflexion de l’histoire de l’Afrique du Nord, la trajectoire de son histoire a pris une autre tournure, pour se devenir un territoire du monde arabe ou le centre de gravité est situé au Moyen orient. C’est là où les décisions politiques et économiques sont prises, d’ailleurs même la crise de Lybie est un pur produit des querelles arabo-arabes entre le clan des Emirats et le clan du Qatar.
Cette annexion de l’Afrique du Nord ou dit « monde arabe » l’a déraciné de son identité africaine profonde. Par conséquent lorsqu’on parle même de l’esclavagisme en Afrique, en parle des esclaves noires du 19eme siècles tout en oubliant catégoriquement les premiers esclaves de l’Afrique qui ne sont que les esclaves blancs de l’Afrique du Nord du 7eme siècle avec les invasions arabes


Enfin, c’est la renaissance des racines profondes reliant   l’Afrique Blanche et l’Afrique Noire 1865


L’écrivain africain Auguste Ngomo, vient de mettre fin à ce divorce forcé entre l’Afrique noire et l’Afrique blanche en rendant hommage au grand roi Massinissa de l’Afrique du Nord qui était le premier a lancé un combat de résistance contre les premières invasions romaines sous le slogan « l’Afrique aux africains ».


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Le livre « Massinissa, la légende » en vente sur Amazon :


En effet, le diplomate gabonais Auguste Ngomo revient sur la genèse de son roman historique : Massinissa, la légende. Dans son interview au journal Algérien Elwatan, L’auteur affirme avoir «voulu rendre fiers les Africains en leur faisant découvrir une partie de leur histoire, une petite partie de leur mémoire». Il continu … « c’est un roman écrit en Afrique, par un Africain, produit en Afrique, distribué en Afrique et lu par des Africains, n’est-ce pas là une belle manière d’illustrer ‘‘L’Afrique aux Africains’’ ?», en faisant référence au slogan de Massinissa, le premier africain qui a eu ce sentiment panafricain, depuis déjà l’époque romaine.
Notre écrivain est allé en profondeur dans l’analyse et déclare au même journal : « Comparativement, on pourrait dire que le roi Massinissa et le peuple amazigh ont joué un rôle décisif comparable à celui des USA pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce grand roi africain a exactement joué ce même rôle et il est anormal que son intervention capitale et décisive reste méconnue des Africains et du reste du monde. Massinissa mérite d’entrer au Panthéon des grands rois africains et des grands panafricanistes ».
Sur sa page FaceBook, notre auteur écrit : « Nous devons bien le reconnaître, Massinissa, le roi Amazigh a changé l'histoire de Rome et de là l'histoire de toute l'Europe. S'il n'avait pas choisi de défendre Rome contre l'empire phénicien de Carthage, il n'y aurait pas eu de Jules César, pas de Constantinople, pas de Cléopâtre, pas de Caligula et de Marc Antoine, pas d'invasion barbares....bref l'Europe aurait connu une autre trajectoire et celle du monde aussi. Massinissa, une légende Amazigh, une légende africaine.
Ci-aprés, une ienterview de Auguste Ngomo au micro d'un militant Amazigh :


 













http://amazighworld.org/news/index_show.php?id=642812