L'esprit Amazigh qui nous habitait autrefois : la fidélité
 L'esprit Amazigh qui nous habitait autrefois-1- 1296 
Le patrimoine culturel amazigh parlé - sous forme de contes / Tullasin ou de légendes / Ummuyn - est rempli d'histoires du passé de nos ancêtres, qui racontent toutes des histoires de réalisation de promesses et de promesses et de maintien de la confiance... De plus, le jugement de nos ancêtres et leurs aphorismes servent surtout à élever la valeur de loyauté et de considération - c'est-à-dire la valeur de loyauté - une valeur centrale dans leur vie communautaire...
On trouve par exemple des dictons qui disent :
Ar itmtat yan f tarwa ns d tmazirt ns d wawal ns
et sa signification : Un/homme meurt pour le bien de ses enfants, de sa terre et de sa promesse,
comme nous trouvons un autre dicton il dit Nos ancêtres dans des situations graves qui ne tolèrent ni la plaisanterie ni le mépris :
Nbbi awal ; Awal n imazighn
et sa signification :: Nous avons terminé le discours, la promesse/discours des berbères,
car nous retrouvons également un autre dicton :
war awal ; war ansa
et sa signification : celui qui n'a pas de mots/de promesse, pas d'adresse/de domicile
Il existe des dizaines de dictons et d'arguments dans notre culture amazighe, il ne suffit pas de tous les citer ici. Mais la chose la plus importante dans son intégralité est que l'accomplissement des vœux et des promesses et le maintien de la confiance en l'amazigh était la chose la plus importante que la personne amazighe préserve, puisque quiconque rompt la promesse ou ne garde pas la confiance et l'alliance ne peut pas vivre au milieu de la société (War awal war ansa)
mais est contraint de quitter sa communauté Et vivre en exil / azwag
est plus éloigné de cela, car celui qui ne tient pas ses vœux et ses promesses n'a pas de parole / ur dars awal, c'est-à-dire que ses paroles ont aucune valeur..

La valeur de la loyauté est étroitement liée à la parole chez les Berbères : le propriétaire des petits mots est le propriétaire de la miséricorde et de la loyauté.(yan wawal ibbi miya)
C'est pourquoi nos ancêtres procédaient verbalement à leurs transactions commerciales et civiles : comme si un commerçant prenait des dizaines de tonnes de marchandises à un autre commerçant sans en payer le prix ou donner des garanties autres que sa promesse verbale... Alors il prend ces marchandises à échanger, et lorsqu'il reviendra Chez le marchand qui le lui a donné, il lui versera son plein salaire sans aucune diminution...
Mais malheureusement, puisque nous avons été affligés par des invasions et des colonisations successives, cette valeur (fidélité) a commencé à disparaître peu à peu, jusqu'à devenir une valeur rare dans nos sociétés.






 
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