Les façons les plus étranges et les plus laides d’accueillir la puberté ou l’âge adulte dans le monde
La tribu Sambian, célèbre pour boire du sperme
La majorité est accueillie de différentes manières et dans différents styles partout dans le monde, mais il existe des manières d'accueillir l'âge adulte qui relèvent des coutumes et des traditions les plus inhabituelles.
Voici quelques-unes des habitudes de puberté les plus étranges et les plus laides du monde entier :
Dans la culture Barabaig d'Afrique de l'Est, les garçons défigurent leur visage :
Les garçons de la tribu Barabig en Afrique de l'Est, dès qu'ils atteignent la puberté, doivent se raser la tête et se défigurer le visage à vie. Les cicatrices avec lesquelles ils se blessent sont un signe de véritable virilité et ils doivent l'afficher avec fierté.
- Dans la tribu indienne Luisino, les jeunes garçons sont allongés sur un lit de fourmis rouges :
Selon les coutumes de puberté de la tribu indienne Louiseno, les jeunes garçons doivent subir un rituel extrêmement douloureux consistant à s'allonger sur un lit de fourmis rouges. Au cours de cette étrange procédure, ces jeunes garçons ne sont reconnus comme hommes que s'ils n'expriment pas de douleur ou d'inconfort. des piqûres de fourmis rouges.
- Les garçons aborigènes australiens ont le pénis percé à la base :
Les garçons aborigènes australiens sont considérés comme ceux qui accomplissent l'un des rituels les plus douloureux au monde. Lorsque les garçons Madugara atteignent la puberté, ils sont circoncis et, une fois guéri, leur pénis est coupé dans le sens de la longueur à partir du bas et du sang est versé dessus. le feu afin de le purifier. Ceci est fait comme une forme de contrôle des naissances dans la tribu. Après l’opération, il est difficile pour l’homme de concevoir et l’homme continue d’uriner par le bas de son pénis et non par l’urètre.
Les garçons de la tribu Satere-Mawe doivent porter des gants remplis de fourmis en plomb :
Les garçons de la tribu Satyr Maui en Amazonie, lorsqu'ils atteignent l'âge adulte, doivent porter des gants remplis de fourmis en plomb pour prouver à la tribu leur force masculine. Les participants peuvent souffrir d'une paralysie partielle, mais c'est le rituel et les garçons doivent subir cette épreuve. au moins 20 fois sur une période de plusieurs mois, voire années.
Les garçons de la tribu Itoro en Papouasie-Nouvelle-Guinée boivent le sperme des aînés pour devenir virils :
Aussi grossier que cela puisse paraître et l'une des coutumes les plus bizarres, les garçons de la tribu Itoro ou Sambian en Papouasie-Nouvelle-Guinée sont célèbres parmi les anthropologues pour leurs actes homosexuels, notamment en buvant le sperme des aînés pour atteindre la maturité et améliorer leur statut de réels. Hommes. Cette tribu croit fermement que la vitalité de la virilité et la véritable force d’un être humain résident dans le sperme du cheikh.
Les filles paraguayennes et brésiliennes se font tatouer à grande échelle lorsqu’elles atteignent l’âge adulte :
Au Paraguay et au Brésil, les filles qui atteignent l'âge adulte doivent se faire tatouer de nombreux tatouages sur le corps, principalement sur l'abdomen, la poitrine et le dos. Cette procédure douloureuse n’est pas considérée comme une forme de souffrance physique mais plutôt comme un signe d’attractivité sexuelle chez la femme.
Des garçons du Pacifique Sud, à Vanatu, sont obligés de sauter d'un mur de 100 pieds :
Dans l’une des traditions les plus étranges de toutes, les garçons de la région du Pacifique Sud du Vanatu, lorsqu’ils atteignent la puberté, doivent passer un test de masculinité extrêmement imprudent. Ils sont déshabillés et poussés d'un mur de 100 pieds, et leur sécurité n'est assurée qu'en tombant sur des plantes. C'est ce qu'on appelle le saut (sauter vers la virilité).
Les garçons de la tribu indienne Algonquine du Québec sont drogués avec des hallucinogènes :
Lorsqu'ils atteignent l'âge adulte, les garçons indiens algonquins sont capturés dans une cage et drogués avec des hallucinogènes et une drogue dangereuse appelée wysoccan, tout cela pour effacer les souvenirs d'enfance et l'innocence enfantine du garçon ainsi que pour garantir ses prouesses masculines.
Source : sites Internet