Chaussures... sur l'histoire pieds nus de l'homme ancien
On entend rarement parler de calciologie . Il semble même qu'il s'agisse d'un terme faisant référence au postmodernisme critique et scientifique, plutôt qu'à une science qui étudie les vieilles chaussures et interprète leur histoire dans leurs contextes sociaux et évolutifs, tout comme elle s'intéresse à l'étude des aspects techniques associés à leur fabrication et à leur restauration. des antiques. Cette science est devenue, pour les spécialistes, un moyen d'étudier le passé de la chaussure avec son existence sociale, rituelle, archéologique et folklorique, et d'observer le développement de ses industries primitives et de leurs matières premières issues de la nature.
Il a été décrit comme une science ( connaître l'histoire à partir de la forme des chaussures anciennes ) dans sa recherche et son étude des restes de la race humaine à sa manière, en particulier les chaussures, les semelles, les sandales et les bottes, qui illustrent dans une certaine mesure l'espèce humaine et sa culture. Depuis son apparition au XVIIe siècle, la calciologie est considérée comme une science spécialisée comme l'une des branches de l'archéologie, et c'est une science étrange, peu diffusée sauf dans la limite de ses intérêts de recherche de vieilles chaussures comme antiquité antérieure, et étudier les phénomènes sociaux à partir de la nature de leur fabrication, comme les peaux d'animaux, le bois, la fourrure, les arbres, leur écorce, leurs feuilles et leurs fibres. Nous pensons qu'aujourd'hui, cela fait partie de l'existence perfectionniste visuelle qui s'intéresse à l'étude de l'existence et du développement de l'existence humaine à travers les chaussures et leur fabrication.
« Depuis son apparition au XVIIe siècle, la calculologie est considérée comme une science spécialisée comme l'une des branches de l'archéologie, et c'est une science étrange, peu diffusée sauf dans les limites de ses intérêts de recherche de la vieille chaussure comme d'un précédent. l’antiquité et étudier les phénomènes sociaux à partir de la nature de sa fabrication.
Dans la plupart des étapes successives de la civilisation, la chaussure était une chaussure aléatoire à semelle plate sans talon, fabriquée à partir de chanvre, de fibres, de lin et de cuir. Elle protège contre les pierres, les sols durs et les rochers, et aide les chasseurs à chasser leurs proies dans des endroits accidentés, des forêts et à traverser des endroits épineux. Par conséquent, nous constatons que le concept de la chaussure dans sa forme finale est presque un concept immanent du développement industriel. lorsque la vie est passée de la primitivité au progrès et que la race humaine est devenue plus étroitement liée à la science et à la civilisation. Quand il quitta la forêt pour la ville, de la grotte à la maison, et de l'individualité à la communauté. C’est-à-dire qu’il a laissé les traces de son premier ancêtre, et s’est tourné vers sa modernité quotidienne dans un cycle évolutif dont témoigne sa vie sociale.
Les chaussures du roi
L'histoire ancienne nous raconte de nombreuses histoires et mythes sur les débuts de l'industrie de la chaussure. Même les mythes liés au concept de perfection chez l'homme ont été diffusés parmi les peuples pour consolider leur lien avec cette industrie primitive, comme s'ils tiraient la terre nue de dessous. pieds et l'a revêtu d'une partie de la nature pour se protéger et se protéger. Cela permet à l’histoire et au mythe de prendre leur place parmi les nombreuses littératures qui documentent la vie avec ses données immédiates. Pour que cela semble être la vérité finale, comme l'histoire du roi qui dirigeait un vaste pays, lorsqu'il effectuait un long voyage terrestre à l'extérieur ou à l'intérieur de son pays et qu'à son retour, il constatait que ses pieds étaient enflés à cause de la marche. des routes difficiles, on lui conseilla donc de faire un petit morceau de cuir sous ses pieds, et c'était le cas, selon l'histoire ; Le début de l’idée de fabriquer des chaussures pour éviter les routes et sentiers accidentés. Mais il peut s'agir d'histoires parmi des dizaines et des centaines d'histoires qui travaillent sur l'imagination à partir de leur source, et qui provoquent et justifient l'existence de l'industrie de la chaussure.
Des dessins qui montrent les chaussures des dirigeants et des guerriers
chaussures européennes
L'invention des chaussures modernes est attribuée à Thomas Byrd (XVIe siècle - 1629) après avoir introduit un talon et une bride. Cette date a précédé l’ère industrielle européenne et nous ne pensons pas qu’elle soit exacte en tant que pionnier industriel. Tandis que certains chercheurs trouvent que la chaussure dans son sens moderne est associée aux périodes des Croisades du premier millénaire. Alors que les croisés effectuaient de longs pèlerinages, leurs pieds devaient être protégés des routes accidentées. C'est ainsi que la chaussure longue en cuir souple a été inventée en France, en Angleterre et dans d'autres pays européens.
Avec l'avènement progressif des derniers siècles de la vie européenne, et en raison de la densité de l'information à ce sujet, nous constatons que les innovations en matière de chaussures et de vêtements ont révélé certains aspects de la vie sociale européenne, après que le corps humain ait été libéré de la nature. Au XVIIe siècle, les chaussures pour hommes à bout carré étaient appelées « mules » et devinrent populaires en Espagne, et elles se débarrassèrent du caractère français qui les précédait dans la diffusion du talon rouge de la chaussure. Cependant, le XVIIIe siècle voit les évolutions successives de la mode en général, et si les chaussures restent (droites) sans distinguer le pied gauche du pied droit, alors le style français considère cela comme une question de mode. Avec les modes françaises et européennes en général, les styles de chaussures se mélangent, et les hommes et les femmes sont largement égaux en termes de standards de beauté et de modes successives, à partir du XVIIIe siècle. Cependant, le développement important est dû à Jan Ernst Matzeliger (milieu du XVIIIe siècle), innovateur de la chaussure moderne. À mesure que les chaussures pour les pieds droit et gauche devenaient différentes, cette culture s'est répandue en Europe et en Amérique au début du XXe siècle.
Quant aux brevets, ils sont nombreux, dont Sparks Hall, concernant la chaussure souple sans lacets, dont il a offert deux paires à la reine Victoria. et l'ingénieur Charles Goodyear en caoutchouc vulcanisé, et le premier talon en caoutchouc de l'Irlandais Humphry O'Sullivan. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, lorsque le Britannique George Cox transforma la semelle des bottes militaires en une base épaisse. Ainsi, l’histoire des pieds nus a fait disparaître la rudesse du terrain. Et chasser les animaux pieds nus. Grimper des hauteurs et traverser des eaux et des marécages. Il a libéré une partie de son corps de la terre, pour répondre aux exigences de sa vie. Mais il doit y avoir des points de vue et des preuves cognitives qui nous ramènent aux civilisations humaines les plus anciennes. Pour savoir quelles étaient les conditions de vie. Comment les anciens évitaient les terrains accidentés et épineux et recherchaient partout une chasse sans entrave.
"Les brevets abondent, de Sparks Hall à la chaussure élastique sans lacets, dont il a donné deux paires à la reine Victoria, à l'ingénieur Charles Goodyear pour le caoutchouc vulcanisé, et au premier talon en caoutchouc de l'Irlandais Humphry O'Sullivan."
Chaussures pharaoniques et mésopotamiennes
Avec les changements climatiques des civilisations anciennes, entre froid, neige et chaleur, l’homme relâche progressivement sa relation physique avec la terre. S’il protège son corps de ces vagues avec des vêtements en fibres, en bois et en cuir, alors l’ancrage du corps se trouve dans les jambes, qui sont en contact direct avec les changements climatiques qui affectent la Terre. Un isolement physique obligatoire était nécessaire. C'est pourquoi nous documentons les premiers spécimens provenant du premier âge de pierre européen, avec les squelettes laissés par les humains dont les pieds indiquent le type de ligaments ou le type de chaussures de protection. Jusqu'aux époques ultérieures qui ont suivi, nous avons suivi le rythme des caractéristiques physiques de l'homme ancien avec la théorie de l'évolution physique qui était révélatrice de son époque, et donc de son type d'accessoire vestimentaire qui protégeait de la chaleur ou du froid. Les chaussures ne sont pas les moindres. En Grèce, on trouve des sandales sur des statues et des peintures murales pour femmes et hommes. C’est ce que l’on retrouve dans les chaussures romaines à lacets. En référence aux bottes robustes portées par les soldats romains. Jusqu'au Moyen Âge, où le type Krako se généralise. Tandis que les siècles suivants ont vu l'émergence de nouvelles modes de chaussures, comme celles en cuir, attachées aux jambes et décorées. Ou des talons hauts. Ou en bois.
Mais avant tout cela, et avant la succession historique, la science de la calciologie détient les premiers fils anciens qui liaient les jambes avec des liens élémentaires, comme protection contre les routes cahoteuses quand les gens étaient pieds nus. Initialement, l'apparition de la chaussure était liée aux pharaons d'Egypte et aux clercs en particulier. Fabriqué en carex, roseau tressé, lin, cuir ou feuilles de palmier en forme de bateau. Cela signifie que l’homme pharaonique commun restait pieds nus. Il lui est interdit de confectionner des chaussures royales. Le design de la chaussure est dans un style pharaonique primitif, garantissant que le pied n'entre pas en contact avec le sol, qu'il soit rocheux, aqueux ou sablonneux. C’est-à-dire empêcher une partie du corps d’avoir une relation avec le sol. Puisque le Pharaon était le plus haut de l'État, il avait le droit de s'élever un peu au-dessus du sol, et d'éviter les frictions entre lui et lui, dans une transcendance divinement voulue que lui offrait la nature. Sans le fournir au public et aux pauvres. Il est accompagné dans cette éminence par les prêtres et les hommes de religion, car ils occupent une position particulière après le roi. Comme à toutes les époques, « le tombeau de Toutankhamon nous donne un regard unique sur les chaussures royales. Il y a une paire de sandales qui ne laisse aucun doute sur la valeur symbolique qu'avaient les chaussures. Elles étaient en bois et décorées de décorations en écorce. , du cuir et des feuilles d'or. » On dit qu'Amon avait enterré 80 chaussures et sandales avec lui.
Sandale sumérienne, 3000 avant JC. Sandales pharaoniques, et en bas de la photo se trouvent les chaussures de Toutankhamon
Dans ce cours, le pharaonique moyen était pieds nus et en contact direct avec la terre, la pierre et l’eau. C’est à dire que son corps restait attaché au sol. Il n'avait pas l'habitude de mettre des chaussures ou des sandales à ses pieds. Il s’agit d’une proposition privée royale et sacerdotale, et les gens ordinaires ne devraient pas imiter cette « biographie » que Hajja a donnée au Pharaon et à ses prêtres. C'est pourquoi le corps commun restait en contact avec la terre pendant de longues périodes.
Du côté parallèle des civilisations anciennes, la civilisation mésopotamienne a laissé dans ses textes, ses dessins cunéiformes et ses sceaux cylindriques beaucoup de choses qui reflètent le statut de classe de la société mésopotamienne. Certains d’entre eux parlent de l’industrie du cuir et de la fabrication de chaussures, chaussons, pantoufles et bottes en particulier. Certains phoques représentaient même Gilgamesh portant des chaussures pointues aux pieds. Tandis que les Assyriens portaient des sandales en cuir qui arrivaient à mi-mollet, contenant des semelles intérieures avec une bride de talon en cuir. Les guerriers peuvent avoir la priorité dans cette tradition. Sous le règne de Sennachérib, des motifs proéminents apparurent dessus, décorés de broderies, de couleurs et d'accessoires. Il était fait de peaux de chèvre et de mouton, avec une doublure en lin et en laine pour se protéger du froid. La fourrure animale est l’un des vêtements humains les plus anciens documentés dans la sculpture sumérienne.
"Certains sceaux représentaient Gilgamesh portant des chaussures pointues aux pieds, tandis que les Assyriens portaient des sandales en cuir qui atteignaient la mi-mollet, contenant des semelles avec une bride de talon en cuir. Les guerriers pouvaient avoir la priorité dans cette tradition."
Histoire des pieds nus
La vie ancienne est pleine de mystères et ce que nous lisons sont les conclusions de fossiles, de squelettes et de dessins primitifs. Par conséquent, les sources scientifiques nous renvoient à des décennies lointaines. 30 à 40 mille ans ; Lorsqu'une personne était confrontée à des conditions naturelles de chaleur et de froid, elle faisait attention à envelopper ses pieds avec des feuilles de plantes, d'arbres, de branches molles, d'herbes et d'herbes pour les protéger. Plus loin dans l'histoire, dans les zones plus froides et gelées, il le faisait. enroulez des fourrures et des peaux d'animaux autour de ses pieds et de ses jambes pour les protéger. Parfois à cause du froid et parfois à cause de rochers escarpés ou de marécages. Dans tous les cas, il était nu et pieds nus face aux vagues des saisons successives et à la météo changeante. Les scientifiques même, dans leurs études sur les os humains, leurs dimensions et leurs structures restées dans les cimetières et les montagnes gelées, ont dressé un tableau préliminaire pour déterminer les revêtements des jambes dans lesquels les gens de cette époque avaient l'habitude de placer leurs pieds, sous la forme de gros plan d'écorces circulaires enveloppées, de peaux d'animaux ou de sacs remplis d'herbe attachés autour des pieds, et c'est une possibilité possible basée sur des preuves de structures laissées dans les cimetières et les montagnes.
Chaussures arabes drôles
L'héritage littéraire et narratif arabe a laissé des histoires drôles liées aux chaussures, des inventions comiques et des situations qui ne sont pas dénuées d'humour. Le plus célèbre d’entre eux est peut-être la chaussure du marchand avare « Abou al-Qasim al-Tanbouri », qui était une chaussure qui avait vieilli et était remplie de pièces rapiécées et qui est devenue la source de son malheur et de sa pauvreté, jusqu’à ce qu’il déclare son innocence devant le juge. L'histoire de cette chaussure a été formulée sous forme de sketches et de séries, dont la plus importante est la série « Abu al-Qasim al-Tanbouri et ses frères - 1995 », réalisée par Tayseer Abboud et interprétée par Mahmoud al-Jundi, Sherine. , et Abd al-Rahman Abu Zahra.
C'est un parallèle avec le proverbe arabe « Il est revenu avec le secret de Hunayn » à propos d'un homme qui s'appelait Hunayn et travaillait comme cordonnier de chaussures dans la ville d'Al-Hira en Irak. Il était célèbre pour son savoir-faire, sa maîtrise et son savoir-faire. et son expérience. Son histoire est bien connue du Bédouin qui fut impressionné par la fabrication des chaussures de Hunayn, mais il ne lui acheta pas, après avoir pris le temps de... Il marchanda et refusa beaucoup de ses clients.
La chaussure arabe a un rôle folklorique et populaire dans la vie quotidienne, en conjurant l'envie et le mauvais œil, car elle repousse les graines des djinns et du diable. C’est une source de conjuration de multiples maux. Aujourd'hui encore, de nombreux foyers arabes ; Surtout les modernes ; Sur leurs devants, elle place une chaussure. Ou deux d’entre eux, pour tuer le mauvais œil et chasser les djinns.
Pour donner la préférence aux hommes par rapport aux femmes, le dirigeant fatimide Bi Amrullah a ordonné aux cordonniers égyptiens de ne pas fabriquer de chaussures pour les femmes afin qu'elles ne quittent pas leur foyer.
La chaussure était une chaussure aléatoire à semelle plate sans talon dans la plupart des étapes successives de la civilisation, fabriquée à partir de chanvre, de fibre, de lin et de cuir.
Chaussure politique
Les chaussures politiques arabes sont presque rares dans leur domaine de coup d'État, à l'exception de ce que l'histoire égyptienne nous a laissé (des sabots) dans lesquels la reine Shajarat al-Durr a été tuée et jetée du balcon du palais. Ce qui nous rapproche du présent, c'est la chaussure de l'Irakien Muntaser al-Zaidi, que le président américain George Bush a lancée à Bagdad en guise d'insulte personnelle au président. Il s’agit d’un événement soudain et inhabituel dans la politique irakienne tout au long de son histoire. Cette chaussure a été portée exclusivement par des personnalités politiques à de nombreuses occasions différentes, même avec le décalage horaire. Ce qui constitue une sorte de protestation et de dissuasion initiale. Certains d’entre eux ressemblent à de la fantaisie. L’autre, en tant qu’image cinématographique, est proche du mythe. Comme dans le cas de l'ancien président roumain Ceausescu, qui portait chaque jour des chaussures neuves et les brûlait à la fin de la journée pour que personne ne les porte après lui. C’est un fait qui est peut-être plus proche du mythe que de la réalité. Contrairement à la chaussure du leader indien Gandhi , qui a perdu une chaussure alors qu'il courait pour attraper un train, et lorsqu'il s'est rendu compte que cela ne servait à rien de garder l'autre chaussure, il a abandonné la seconde, espérant que celui qui trouverait la le premier en bénéficierait. La différence est évidente entre les deux personnalités politiques en termes de comportement moral et populaire.
"Ce qui nous rapproche du présent, c'est la chaussure de l'Irakien Muntaser al-Zaidi, que le président américain George Bush a lancée à Bagdad en guise d'insulte personnelle envers le président."
On sait qu'Eva Peron, l'épouse de l'ancien président argentin Juan Peron, avait fait fabriquer ses chaussures sur mesure en peau de vison, dont la fourrure et la peau sont parmi les plus chères au monde, et qu'Imelda Marcos, la Première Dame du Les Philippines possédaient une collection de chaussures de luxe comptant plus de 3 000 paires. Mais la chaussure la plus célèbre de l’histoire de la politique internationale est celle de l’ancien président soviétique Khrouchtchev, qu’il a placée sur la table du Conseil de sécurité de l’ONU dans les années 1960, pendant la guerre froide entre les États-Unis et l’ex-Union soviétique. C’est une image qui est encore fermement ancrée dans l’esprit mondial, en raison de sa force et de son audace politique.
La chaussure dans la narration, l'art et le cinéma
Il existe de nombreuses œuvres littéraires dans la poésie, les histoires, les romans et le théâtre inspirées par la chaussure et ses connotations douces et rugueuses. Il n’y a pas assez d’espace pour passer, car ils sont abondants. Dans la conception orientale, les chaussures en général signifient en particulier une humiliation personnelle, sociale et politique. Les circonstances politiques arabes ont laissé tomber les masses arabes dans de nombreuses situations et guerres, au point que « nos paroles trouées sont comme de vieilles chaussures », selon Nizar Qabbani. Les poètes minbari et non minbari ont commencé à rivaliser dans les connotations arabes des chaussures, comme les poètes Salah Abdel Sabour, Saadi Youssef, Amjad Nasser, Afifi Matar et Ahmed Fouad Najm.
« L'ancien président roumain Ceaușescu portait chaque jour une chaussure neuve et la brûlait à la fin de la journée pour que personne ne la porte après lui. Contrairement à la chaussure du leader indien Gandhi, qui en a perdu une. courir pour attraper un train, et quand il s’est rendu compte que cela ne servait à rien de garder l’autre chaussure, il a abandonné la seconde. Espérons que celui qui trouvera la première en profitera.
Quant aux romans et aux nouvelles, ils sont également trop nombreux pour être comptés, arabes ou étrangers. Du turc Aziz Nesin (La chaussure étroite), de l'Algérien Wasini Al-Araj dans (La chaussure des chaussures rugueuses), et de l'Égyptienne Salwa Bakr dans (Les éléphants noirs dans les chaussures blanches) et (Fils et chaussures) de l'Irakien Mohsen Al -Ramli. Aussi, Waheed Tawila et son roman (Les chaussures de Fellini) et Maysoon Saqr dans (Rihanna). Cependant, les beaux-arts internationaux seront les premiers à présenter la chaussure sociale avant d'autres connotations artistiques et juridiques, et peut-être le tableau le plus célèbre (Chaussure - 1886) de l'impressionniste Van Gogh est le plus ancien parmi les tableaux d'importance sémantique. Dans le domaine cinématographique, Cendrillon est peut-être l’un des films les plus internationaux qui ont inspiré les cinéastes, notamment des films, des séries, des films d’animation, des contes pour enfants et des sketches télévisés. Mais le cinéma international s'est beaucoup investi sur le thème des chaussures et de leurs connotations symboliques, depuis les années 1960 dans le film « Breakfast at Niffany's » avec Audrey Halfburn et jusqu'à plus récemment avec le film « The Cobbler - 2014 » réalisé par Thomas McCarthy. . Le film d'horreur coréen (The Red Shoes - 2005) a été réalisé par Kim Young Geun, la comédie turque (The Shoemaker) et le film (The Yellow Shoe) ont été représentés par Kalki Koechlin, et le film jordanien (The Shoes - 1978) parle de la tragédie des enfants palestiniens dans les camps et met en vedette Jamil Awad, Rifaat Al-Najjar et Nabil Negm.
Notes de bas de page et références :
Nicolae Ceaușescu : Président de la République socialiste de Roumanie de 1967 jusqu'à son exécution le 25 décembre 1989.
Gilgamesh : un roi historique de l'État sumérien d'Uruk et un héros important dans l'ancienne mythologie mésopotamienne.
Sennachérib : sixième roi de l'empire néo-assyrien, son règne dura environ 24 ans.
Shajarat al-Durr : Une esclave achetée par le sultan al-Salih Najm al-Din Ayyub, et elle occupait un statut élevé auprès de lui jusqu'à ce qu'il la libère et l'épouse. Elle assuma le trône d'Égypte pendant quatre-vingts jours après la mort du sultan Al-Salih Ayoub, puis abdiqua le trône au profit de son mari, Izz al-Din Aybak al-Turkman, en 1250.
Mahatma Gandhi : chef spirituel de l'Inde. Il fut un pionnier de la désobéissance civile de masse, qui conduisit à l’indépendance de l’Inde.
Nikita Khrouchtchev : a dirigé l'Union soviétique de 1935 à 1964
Juan Domingo Perón : Président de l'Argentine pour deux mandats ; Un coup d'État militaire met fin à son premier mandat, le forçant à quitter l'Argentine. Mais il rentre dans son pays en 1973 et est élu président jusqu'à sa mort un an plus tard.
Eva Perón : actrice et femme politique argentine. Elle épousa le président Juan Perón en 1945 et assuma par la suite la présidence de l'Argentine l'année suivante.
Imelda Marcos : épouse du président philippin Ferdinand Marcos et première dame des Philippines jusqu'en 1986. Ancienne reine de beauté et chanteuse. Il était surnommé le Papillon de Fer.
Dans la langue sumérienne, le mot « cordonnier » apparaît, signifiant « cordonnier ».
La sandale assyrienne est appelée Na'ul en langue akkadienne, qui est la même que la prononciation arabe.
La culture de la botte à travers les âges - Dr. Majid Ezzat Israël - Université de la Ruhr.
Chaussures italiennes - Henning Mankell - Traduit par Yves Cadore et Hazem Abido.
Introduction aux civilisations de l'Orient ancien - F. Von Zuden- T: Dr. Farouk Ismaïl - Al-Mada 2003
Journal Al-Riyadh : Jeudi 1 Rabi' al-Akhir 1433 AH - 23 février 2012 - Numéro n° 15949
Poste arabe : 1-5-2022
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