La Grande Migration Amazighe et la reconstruction des déserts verts de la côte africaine
La Grande Migration Amazighe et la reconstruction des déserts verts des côtes africaines à l’Holocène et au Néolithique
Entre 30 000 et 9 000 000 ans avant JC
Cette importante découverte anthropologique a été confirmée par la découverte de restes d'humains primitifs sur le site de Gobero au Niger, représentant le plus ancien
Il a habité le désert vert d'Afrique à l'époque de l'Holocène (entre 30 000 et 9 000 000 ans avant JC) et ensuite à l'ère néolithique.
Lien pour voir le site Gobero
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gobero
Lors de l'examen des restes, les chercheurs ont découvert qu'ils appartenaient à des peuples du Maghreb et qu'ils avaient alors migré vers le Désert Vert par lots séparés à la recherche de stabilité et de nouvelles ressources.
Ce peuple marocain était le descendant des Ibéromarusiens, peuples blancs venus d'Afrique du Nord et considérés comme les ancêtres du Maghreb actuel.
Le départ de ces Marocains des montagnes de l'Atlas, qui avaient un climat très froid et rigoureux, rendait difficile la recherche du gibier, ils préférèrent donc partir vers les régions méridionales des montagnes chaudes de l'Atlas, et cela commença au 30 mille ans avant JC.
Ainsi, ils ont pénétré dans le désert du Maghreb, qui n’était pas aussi vaste qu’aujourd’hui, et ont atteint ce qu’on appelle aujourd’hui la région africaine du Sahel, qui regorge de forêts tropicales, de marécages et de savanes.
Pendant la période Holocène, il leur était difficile de s'adapter à un environnement chaud, plein de maladies et de prédateurs, notamment des mammifères géants, des mégaphones, des reptiles et des oiseaux géants féroces. Malgré cela, ils ont réussi à surmonter les difficultés.
Ils furent les premiers à réaliser des mouvements de berger et de voyage et à fabriquer des poteries en céramique après le IXe millénaire avant JC. Ils furent les premiers à fabriquer des bateaux pour pêcher dans les lacs verts des déserts africains, à fabriquer des hameçons et des filets, à sculpter sur les rochers, et de représenter leurs activités sur des peintures murales naturelles.
(sereno) Références d’une étude
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0002995
Les Epiromoriens, les Oshtatiens, les Mashtaniens ou les Maures Chromaniums.
(Anglais et français : Ibéro-Maurusiens, Oraniens, Mechtoïdes, Cromagnons du Maghreb, Mouillan, Mechtatiens)