?Certains supercalculateurs de la NASA provoquent des retards dans les missions. Quelle est l'histoire
?Certains supercalculateurs de la NASA provoquent des retards dans les missions. Quelle est l'histoire  13-362
La NASA utilise les technologies les plus avancées au monde pour réaliser les plus grandes découvertes de l'histoire de l'humanité. Cependant, selon un rapport spécial réalisé par le Bureau de l'Inspecteur général de l'Agence spatiale américaine, ses capacités de calcul intensif ne sont plus en mesure de fonctionner avec l'humanité. l'efficacité attendue, ce qui entraîne... des retards dans les missions spatiales.
Supercalculateurs de la NASA
Les supercalculateurs de la NASA s'appuient encore principalement sur des unités centrales de traitement (CPU). Par exemple : l'un des supercalculateurs de la NASA possède 18 000 unités centrales de traitement (processeur/processeur) et 48 unités de traitement graphique (processeur graphique/carte vidéo).
La NASA possède actuellement cinq actifs HEC situés dans ses installations de Californie et du Maryland. Les ordinateurs de l'agence spatiale comprennent le supercalculateur « Aitken » chargé de ramener les humains sur la Lune et d'y établir une présence durable, le supercalculateur « Discover » chargé de simuler la météo et le climat, et le supercalculateur « Pléiades », qui est également utilisé pour les simulations météorologiques, en plus des études astrophysiques, et autres.
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Malgré les capacités révolutionnaires de ces appareils, les cœurs de processeur qu'ils contiennent deviennent obsolètes, le rapport indique : « Les responsables de HEC ont exprimé plusieurs inquiétudes concernant cette observation, notant que l'incapacité de mettre à jour les systèmes de la NASA pourrait être attribuée à divers facteurs tels que… liés à la chaîne d’approvisionnement, les exigences informatiques modernes et la pénurie de personnel qualifié pour gérer les systèmes avancés.
"En fin de compte, l'incapacité de moderniser les infrastructures aura un impact direct sur la capacité de l'agence spatiale à atteindre ses objectifs exploratoires, scientifiques et de recherche", poursuit le rapport.
Les audits du BIG ont également révélé que la division Edge Computing de l'entreprise Elle n’est pas gérée de manière centralisée, ce qui entraîne une inefficacité et un manque de stratégies cohérentes, notamment quant à la préférence ou non aux ressources cloud, au point que certaines tâches sont désormais confiées à des ordinateurs spécifiques plutôt qu’à des supercalculateurs.
En outre, des études ont révélé que les contrôles de sécurité sur l'infrastructure des supercalculateurs sont souvent contournés, ce qui augmente le risque de cyberattaques.

En fin de compte, le rapport indique que le passage à des unités de traitement graphique modernes et le suivi des évolutions sont essentiels pour répondre aux besoins futurs de la NASA.


Source : sites Internet