Symboles de la trahison du Croissant en Algérie2
Symboles de la trahison du Croissant en Algérie2  1---198
Al-Bashagha bin Yahya bin Issa Al-Hilali est né riche et arrogant, a grandi comme un voyou et est mort pauvre et humilié, avec le trait de la trahison qui le suivait.
Al-Bash Agha bin Yahya bin Issa est issu d'une famille bien connue du sud de Titari (province de Djelfa). Il appartient au trône des fils de Yahya bin Salem de la tribu Ould Nayel d’ estomac de Zaghba Al-Hilalia. déclara sa loyauté à la France en 1842. Il participa au renversement de la camaraderie de l'émir Abdelkader en 1843 avec l'armée du duc Dolman Henri Dorlio participa à sa campagne le 16 mai 1843, et ce fut une tragédie majeure dans la résistance de l'émir Abdelkader. .
En 1847, ce traître parvint à convaincre toute la tribu des Ould Nil, notamment la tribu des Zoghbiya, de faire la paix avec la France et de leur offrir un coup de main pour achever l'occupation des terres d'Algérie, notamment en persuadant les Le calife Sharif Al-Ahrach doit se rendre. En conséquence, il fut nommé pachagha de Tetari et Arbaa le 29 novembre de la même année, et Sharif Al-Ahrach fut nommé pachagha d'Ouled Nil par le général Ladmirault, puis calife, lorsque la France comprit qu'il n'était pas possible de gardez une grande partie des Awlad Nile dans le cercle de « Ahmed bin Salem » « Bin Yahya bin Issa ».
Dans les années 1848-1850, il participe avec son armée de mercenaires à la lutte contre la révolution Zaatasha, dont plus de 2 500 Shawis sont exterminés. Les survivants fuient vers les populations des Aurès dans le village de Nara, qui payent également un lourd tribut. Puis il participa à l'élimination des révolutionnaires de Laghouat en 1851, puis il trahit le révolutionnaire Al-Maqrani en 1848-1850.
Pour des raisons inconnues, il perdit toutes les richesses qu'il avait acquises grâce à sa guerre contre le peuple algérien, puis il mourut en 1881 comme un chien malade et pauvre.


le critique :
- Page d'accueil de l'Algérie datée 1830-1889 p.
- Live d'Algérie 1937, Jeanne et André Brochier ; ben yahia ben aissa.