Il n'y a rien de plus terrifiant que l'ignorance en action
A l’annonce des résultats du Prix littéraire Asia Djebar, un bouclier s’est levé contre la personne de l’auteure, Inaam Bayoud, et son roman « Hawariyya ».
J'avoue que je n'ai pas lu l'ouvrage en question, mais je connais la grande poète qu'elle est.
Justement, grâce à sa poésie, j'ai découvert la profondeur du métier de cette femme.
Quant à moi, j'ai eu l'insigne d'honneur de l'inviter en compagnie du non moins talentueux poète Abderrahmane Djelfaoui. C'était dans le cadre des rencontres du Café Littéraire et Philosophique de Raba' Nat Iraten au cours de l'année 2015. ce jour-là, le public était présent en nombre et en qualité. Il a applaudi nos invités.
Ce qui a retenu mon attention, c'est son humilité et sa grandeur d'esprit couplées à la très bonne culture générale qu'elle possède.
Pour ceux qui ne la connaissent pas, elle est la directrice de l'école algérienne de traduction
Lors des différentes visites de courtoisie que j'ai effectuées, l'accueil a toujours été chaleureux.
Aussi, elle se distinguait par ses bonnes relations avec tous les élèves de son école.
Inaam Bayoud est une intellectuelle trilingue connue et reconnue par ses pairs.
Cette intransigeance d’un autre âge vise le progrès impulsé par une femme cultivée.
Pour les misogynes et gardiens autoproclamés de la morale, toute société qui ne respecte pas les femmes ira droit au mur. À tous les gens qui crachent du carburant, j'ai une chose à vous dire : TAISEZ-LA !
Dans cet article, j'exprime mon soutien inconditionnel à cette écrivaine talentueuse et lui souhaite encore plus de succès. Je condamne fermement les forces néfastes qui abattent tout ce qui peut apporter du bien à la société.
Source : sites Internet