Les Sumériens et les Babyloniens commémoraient la mort du dieu Tammuz
Le 9 Tammuz était un triste jour pour les Sumériens et les Babyloniens, car ils commémoraient la mort du dieu Tammuz (également connu sous le nom de Demuzi).
Rituels de deuil :
La tristesse commence le deuxième jour de Tammuz : les calendriers babyloniens indiquent que la tristesse et les pleurs à cause de Tammuz commencent le deuxième jour du mois.
Processions de condoléances : De tristes processions aux flambeaux ont eu lieu les 9, 16 et 17 juillet.
Rituel palakkadien : Les trois derniers jours du mois, une célébration connue sous le nom de « Balakkadien » en langue akkadienne avait lieu. Lors de cette célébration, une statue du dieu Tammuz a été symboliquement exposée et enterrée.
Lamentations de Tammuz :
Poésie sumérienne : Nous avons croisé de nombreuses élégies écrites par des poètes sumériens et babyloniens déplorant le dieu Tammuz.
Extraits d'élégies : Certaines de ces élégies montrent le chagrin de sa sœur suite à sa mort et ses appels à le sauver des forces du mal.
Ils l'ont entouré, se sont emparés de lui et... l'ont regardé.
- Ils ont diffamé le garçon... et la hache
- Ils ont coupé sa pierre avec des couteaux.
À cause de son frère, la sœur commença à parcourir la ville ( ) comme ( ) un oiseau ( ) et à dire :
- Frère, laisse-moi... le mal, laisse-moi apporter... "1"
La diffusion du culte de juillet :
Culte dans tout Sumer : Le deuil de la mort de Tammuz était pratiqué dans tout Sumer, ce qui montre l'importance de cette doctrine.
Le mois de Dumuzid : Dans la ville de Lagash, le sixième mois était appelé « Dumuzid » du nom du dieu Tammuz.
La transmission du culte aux Babyloniens : Le culte de Tammuz et la fête de deuil qui lui est associée ont été transférés plus tard des Sumériens aux Babyloniens.
Association de juillet avec une autre déesse :
Son association avec Amma-Ushugal-Anna : Le dieu Tammuz était associé à la déesse Amma-Ushugal-Anna, une déesse de la ville de Lagash.
Description d'Amma-Ushugal-anna : Amma-oshugal-anna est parfois décrite comme une guerrière héroïque.
Sources:
Ishtar et le diamant de juillet : par le Dr Fadel Abdel Wahed Ali, p.
Noir et vert 1992 : , p.