L’Algérie, un autre berceau de l’humanité
Le site d’Aïn Boucherit, en Algérie | Credit : Mathieu Duval
Depuis décembre 2018, l’Algérie peut s’enorgueillir de compter parmi ses sites préhistoriques, un des plus vieux au monde (2,4 millions d’années), le deuxième après celui de Gona en Ethiopie (2,6 millions d’années ).
Il s’agit du site préhistorique d’Ain Boucherit situé dans la commune de Guelta Zarga, près d’El Eulma, dans la wilaya de Sétif, où des vestiges archéologiques témoignent d’une présence humaine remontant au début de l’humanité.
Les fouilles archéologiques conduites sur le site d’Ain Boucherit par une équipe de scientifiques algériens et étrangers, a livré des outils de pierres taillées en calcaire et silex associés à des ossements fossiles d’animaux de savane aujourd’hui disparus notamment le mastodonte, l «Éléphant, l’hippopotame, le rhinocéros, les équidés, les gazelles et les carnivores.
armi ces ossements, plusieurs spécimens portent des traces intentionnelles de découpe et de percussion (traces de boucherie) prouvant que les outils taillés associés ont été utilisés dans la consommation et la consommation de la viande animale.
Les outils taillés d’Ain Boucherit comprennent des galets aménagés, des polyèdres, des noyaux, des racloirs et des éclats à bords tranchants caractéristiques de la
culture préhistorique du Paléolithique ancien dit «Oldowayen».
Ces objets archéologiques ont été recueillis dans deux canapés stratigraphiques datés de 2,4 et 1,9 millions d’années.
why would Algeria be the new cradle of humanity?
Plusieurs méthodes de datations modernes ont été utilisées: paléomagnétisme, biochronologie des grands mammifères et Résonance Paramagnétique Electronique (RPE). Ces données scientifiques ont fait l’objet d’une publication dans la prestigieuse revue américaine Science en date du 14 décembre 2018.
Le site d’Aïn Boucherit, en Algérie | Credit : Mathieu Duval
Depuis décembre 2018, l’Algérie peut s’enorgueillir de compter parmi ses sites préhistoriques, un des plus vieux au monde (2,4 millions d’années), le deuxième après celui de Gona en Ethiopie (2,6 millions d’années ).
Il s’agit du site préhistorique d’Ain Boucherit situé dans la commune de Guelta Zarga, près d’El Eulma, dans la wilaya de Sétif, où des vestiges archéologiques témoignent d’une présence humaine remontant au début de l’humanité.
Les fouilles archéologiques conduites sur le site d’Ain Boucherit par une équipe de scientifiques algériens et étrangers, a livré des outils de pierres taillées en calcaire et silex associés à des ossements fossiles d’animaux de savane aujourd’hui disparus notamment le mastodonte, l «Éléphant, l’hippopotame, le rhinocéros, les équidés, les gazelles et les carnivores.
armi ces ossements, plusieurs spécimens portent des traces intentionnelles de découpe et de percussion (traces de boucherie) prouvant que les outils taillés associés ont été utilisés dans la consommation et la consommation de la viande animale.
Les outils taillés d’Ain Boucherit comprennent des galets aménagés, des polyèdres, des noyaux, des racloirs et des éclats à bords tranchants caractéristiques de la
culture préhistorique du Paléolithique ancien dit «Oldowayen».
Ces objets archéologiques ont été recueillis dans deux canapés stratigraphiques datés de 2,4 et 1,9 millions d’années.
why would Algeria be the new cradle of humanity?
Plusieurs méthodes de datations modernes ont été utilisées: paléomagnétisme, biochronologie des grands mammifères et Résonance Paramagnétique Electronique (RPE). Ces données scientifiques ont fait l’objet d’une publication dans la prestigieuse revue américaine Science en date du 14 décembre 2018.
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